GT IBMA. 2016. Lonicera japonica. Base d’information sur les invasions biologiques en milieux aquatiques. Groupe de travail national Invasions biologiques en milieux aquatiques. UICN France et Onema.
Nom commun : Chèvrefeuille du Japon Catégorie : FLORE Famille :Caprifoliaceae Milieu : Ripisylves Origine géographique : Asie Nom Anglais : Japanese honesuckle Auteur : Thunb., 1784 Introduction en France : métropole et outre-mer
MODALITÉS DE GESTION La coupe mécanique de L. japonica est très peu efficaces car les rejets sont trop importants et la plante possède des capacités de bouturage très fortes. La coupe régulière de la plante autour des zones colonisées peut cependant limiter son expansion latérale (CABI, 2015).
L’arrachage manuel peut être réalisé mais doit veiller a bien arracher l’ensemble du système racinaire. Ces opérations doivent être réalisés plusieurs fois pour être efficaces. Les jeunes plants peuvent être arrachés lorsque le sol est humide, pour faciliter l’extraction du système racinaire. Les plantes couvrant le sol sur de grandes superficies peuvent être soulevées avec un râteau et coupées à la base. Ces opérations doivent être réalisées deux fois par an, au mois de juillet et en septembre. Elles ne permettent pas d’éliminer les plantes car les rhizomes persistent dans le sol (CABI 2015).
Le pâturage avec des chèvres peut également être mis en place pour réduire les populations (CABI, 2015).
MODALITÉS D’INTRODUCTION EN FRANCE ET IMPACTS DOCUMENTÉS Le Chèvrefeuille du Japon a été introduit pour l’ornement, pour ses fleurs parfumées.
L’espèce peut former des draperies monospécifiques de plusieurs centaines de mètres carrés en sous-bois, éliminant totalement les espèces indigènes et modifiant la structure des communautés. Il est considéré comme une espèce invasive en région méditerranéenne et il est très dynamique dans les milieux rivulaires du Rhône. En France, ses impacts restent cependant à déterminer. grimper dans la végétation et étouffer des arbustes et des arbres. Elle peut entraver la régénération des espèces indigènes mais son impact en France rester à évaluer (Fried, 2012).
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